Glossaire environnemental

Cours d' eau qui se jette dans un autre.

L'agriculture est le travail de la terre (ager signifie champ en latin). Son histoire est principalement façonnée par les progrès techniques, l'économie et l'environnement.

L’agriculture biologique est une méthode de culture qui n’utilise pas de pesticides ou d’engrais chimiques, et qui les remplace par d’autres méthodes incluant des produits issus des plantes ou des animaux : purin, compost, savon noir… Ce type d’agriculture respecte l’environnement

Science de la gestion des sols et de la production de cultures. Les agronomes sont les spécialistes de l'agronomie, c'est-à-dire l'étude scientifique des relations entre les plantes cultivées, le milieu tant pour le substrat que pour le climat et les techniques agricoles.

Source : http://www.aquaportail.com/

C 'est le côté du bassin versant d'où provient un cours d'eau, la partie supérieure d'un cours d'eau, d'une vallée. A l'opposé de l'aval.

Terme générique qui désigne toutes les activités de production animale ou végétale en milieu aquatique.

Castillan : acuicultura

C 'est le côté du bassin versant vers lequel descend un cours d'eau, la partie inférieure d'un cours d'eau, d'une vallée. A l'opposé de l'amont.

Un barrage est un ouvrage d'art construit en travers d'un cours d'eau et destiné à réguler le débit du cours d'eau et/ou à stocker l'eau pour différents usages tels que : contrôle des crues, irrigation, industrie, hydroélectricité, pisciculture, réserve d'eau potable, etc .

C'est une aire délimitée par des lignes de crête dans laquelle toutes les eaux tombées alimentent un même exécutoire (cours d'eau , lac, …).

Ensemble d'êtres vivants de toutes espèces, végétales, animales, microorganismes coexistant dans un espace défini (le biotope), qui établissent des relations entre elles et avec leur milieu.

La biodiversité, contraction des 2 mots  biologique et de diversité, apparue pour la première fois en 1985, représente la diversité des êtres vivants et des écosystèmes : la faune, la flore, les bactéries, les milieux mais aussi les races, les gènes et les variétés domestiques.

Source : http://www.developpement-durable.gouv.fr/

Science qui étudie la vie sous toutes ses formes. La biologie englobe toutes les sciences ayant pour objet l'étude de tous les êtres vivants dont l'homme.

La bioluminescence est la production et l'émission de lumière par un organisme vivant résultant d'une réaction chimique au cours de laquelle l'énergie chimique est convertie en énergie lumineuse.

Elle désigne la masse totale d'organismes vivants dans un biotope déterminé à un moment donné. Elle peut être estimée par unité de surface s'il s'agit d'un milieu terrestre ou bien par unité de volume s'il s'agit d'un milieu aquatique. La biomasse renferme de l’énergie d'origine végétale (algues incluses), animale ou fongique qui peut être libérée par combustion (ex : bois énergie), après méthanisation (biogaz) ou après de nouvelles transformations chimiques (agro carburant).

Vaste étendue géographique possédant des caractéristiques climatiques, des populations végétales et animales spécifiques. Ex : la toundra, la taïga, le désert, …

Partie de notre planète où la vie s'est développée : couche superficielle très mince qui comprend l'hydrosphère, la couche la plus basse de l'atmosphère et la lithosphère. La biosphère contient de grandes quantités d'éléments indispensables à la vie tels que le carbone, l'azote, l'oxygène, l'eau, le phosphore, le calcium, le potassium, ... .
La biosphère et en particulier la végétation, que ce soit la forêt (terrestre) ou le phytoplancton (marin) influencent considérablement la composition en gaz de l’atmosphère (vapeur d’eau, gaz carbonique, oxygène et méthane en particulier).

Source : http://www.actu-environnement.com/ae/dictionnaire_environnement/

(du grec bios : vie ; topos : lieu) : c’est un milieu de vie où les conditions écologiques sont considérées comme homogènes et bien définies. Le biotope d’un organisme est le milieu caractérisé par des paramètres (température, luminosité, sol, …) bien définis, auquel il est spécialement adapté, c’est donc un milieu où vit une espèce.

Chaque biotope est également caractérisé, en principe, par la faune et la flore qui l’habitent, c’est-à-dire par une biocénose.

Il peut être défini comme étant les conditions moyennes qu’il fait dans un endroit donné (température, précipitations, vent, ensoleillement) calculées d’après les observations d’au moins 30 ans (défini par l’Organisation Météorologique Mondiale). Il est donc caractérisé par des valeurs moyennes, mais également par des variations et des extrêmes. A l’échelle de la planète, le climat représente une machinerie complexe qui est le produit, dans l’espace et dans le temps, de toute une série d’interactions entre les éléments qui composent les différents compartiments : l’atmosphère, la lithosphère, l’hydrosphère, la cryosphère et la biosphère.

Appareil qui permet d'évaluer la consommation d'eau d'une installation.

Nom donné au phénomène physique de changement d'état de l'eau qui passe d'un état dilué (vapeur d'eau) à un état condensé (eau liquide).

Lieu où deux cours d'eau se réunissent.

Forte élévation du niveau des eaux d'un cours d'eau, par suite de pluies ou de fonte de neiges.

C'est un modèle représentant le parcours de l'eau entre les grands réservoirs d'eau liquide, solide ou gazeuse sur terre : les océans, l'atmosphère, les lacs, les cours d'eau, les nappes souterraines et les glaciers. Le «moteur» de ce cycle est l'énergie solaire qui, en favorisant l'évaporation de l'eau, entraîne tous les autres échanges.

Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Rapport Brundtland, 1987.

Le développement est un processus conduisant à l'amélioration du bien-être des humains. L'activité économique et le bien-être matériel demeurent essentiels mais la santé, l'éducation, la préservation de l'environnement, l'intégrité culturelle par exemple le sont tout autant. L'adjectif durable insiste sur la notion de temps c'est-à-dire pour une amélioration sur le long terme du bien-être de tous.

(du grec oikos : la maison et logos : la science) : Ce mot a été utilisé pour la première fois en 1866 par le biologiste Ernst Haeckel. L'écologie est donc la science qui étudie les relations des êtres vivants dans leur environnement.

Unité formée par l’association d’une communauté d’espèces vivantes (biocénose) et d’un environnement physique (biotope) en constante interaction. Une forêt, un lac, un champ cultivé peuvent être considérés comme des écosystèmes. Synonyme : milieu naturel.

Source : Dictionnaire Larousse.

Phénomène météorologique créé par la rencontre du vent et du relief. Le vent rencontre la montagne, s'y déverse de toute son humidité (pluie), passe par dessus la montagne et redescend de l'autre côté, chaud et complètement asséché.

Ensemble des opérations qui assurent la multiplication d'animaux souvent domestiques, parfois sauvages pour des usages humains. Les opérations consistent à gérer la production des animaux adultes pour les multiplier et à leur fournir gîte, nourriture, soins, en vue de leur utilisation et/ou de leur production.

Lieu où un fleuve se jette dans la mer. Cela peut prendre la forme d'un estuaire ou d'un delta.

Ensemble des composants naturels de la planète Terre, comme l'air, l'eau, l'atmosphère, les roches, les végétaux, les animaux, et l'ensemble des phénomènes et interactions qui s'y déploient, c'est-à-dire tout ce qui entoure l'Homme et ses activités.

Au XXI^ème siècle, la protection de l'environnement est devenue un enjeu majeur, en même temps que s'imposait l'idée de sa dégradation à la fois globale et locale, à cause des activités humaines polluantes.

C'est un processus dans lequel le sol est emporté par l'eau qui frappe le sol en tombant ou par un effet de ruissellement.

Castillan : Erosión hídrico

Groupe d'êtres vivants pouvant se reproduire entre eux et dont la descendance est fertile. L'espèce est l'entité fondamentale des classifications, elle réunit les êtres vivants présentant un ensemble de caractéristiques morphologiques, anatomiques, physiologiques, biochimiques et génétiques, communes.

Source : http://www.futura-sciences.com/fr/definition/t/zoologie-2/d/espece_2261/

Partie terminale d'un fleuve, de forme évasée et où la mer remonte. C'est une zone de mélange entre eaux douces et eaux marines.

Zone d'eau stagnante, d'origine naturelle ou artificielle. C'est plus petit qu'un lac mais plus grand qu'une mare.

En hydrologie, cela correspond statistiquement (sur plusieurs années) à la période de l’année où le débit d’un cours d'eau atteint son point le plus bas (basses eaux).

Issue par laquelle l’eau d’un cours d’eau, d’un lac ou d’une nappe, s’écoule par gravité.

Ensemble des animaux vivant dans une région. Ex : la faune africaine.

Source : http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/africain/

Cours d’eau qui se jette dans la mer ou l’océan.

Ensemble des espèces végétales présentes dans un espace géographique ou un écosystème déterminé.

Grande étendue de terrain couverte d'arbres ; ensemble des grands arbres qui occupent, qui couvrent cette étendue. Par opposition, un boisement de faible étendue est appelé bois ou bosquet selon son importance.

Eau solidifiée quand sa température est inférieure à 0°C à la pression atmosphérique normale.

Masse de glace compacte, souvent très ancienne, formée en montagne ou dans les régions polaires par accumulation de la neige.

Science qui étudie la distribution et de la circulation de l'eau souterraine dans le sol et les roches, en tenant compte de leurs interactions avec les conditions géologiques et l'eau de surface .

Science de la terre qui s'intéresse au cycle de l'eau, c'est-à-dire aux échanges entre l'atmosphère, la surface terrestre et son sous-sol. Cette science traite des propriétés mécaniques, physiques et chimiques des eaux. Elle étudie aussi les eaux minérales et leurs propriétés thérapeutiques.

Castilla : Hidrología

Grande étendue d'eau intérieure qui génère de l'eau douce. Son origine est diverse : tectonique, glaciaire, volcanique etc.

Bande de terre comprise entre une étendue maritime et le continent.

Petite étendue d'eau stagnante d’origine naturelle ou artificielle, permanente ou temporaire.

Variation journalière du niveau de la mer, qui monte et qui descend, due aux attractions combinées de la Lune et du Soleil sur la masse d'eau des océans.

Etude du temps qu'il fait et du temps qu'il va faire. Il faut observer le ciel, les précipitations et les vents, et mesurer la température, la force du vent et la quantité de précipitations.

Ce sont étymologiquement des "petits organismes", donc des êtres vivants si petits qu'ils ne sont observables qu'au microscope. Ce terme englobe une variété d'espèces très différentes, qu'elles soient procaryotes (bactéries) ou eucaryotes (levures, algues). Certains incluent aussi les virus, bien qu'ils soient à la limite du vivant.

Source : http://www.futura-sciences.com/fr/definition/t/biologie-4/d/microorganisme_6183/

Grande étendue d'eau tranquille souterraine, à plus ou moins grande profondeur, qui alimente les puits en eau potable.

Précipitation de cristaux de glace agglomérés en flocons, dont la plupart sont ramifiés, parfois en étoile.

Grande quantité de gouttelettes d' eau en suspension dans l' atmosphère, provenant de la condensation de la vapeur d' eau contenue dans l' air .

Vaste étendue d'eau salée qui recouvre une grande surface du globe terrestre.

Précipitation d'eau à l'état liquide tombant des nuages vers le sol.

Dégradation de l'environnement par l'introduction dans l'air, l'eau ou le sol de matières n'étant pas présentes naturellement dans le milieu. Elle entraîne une perturbation de l'écosystème dont les conséquences peuvent aller jusqu'à la migration ou l'extinction de certaines espèces incapables de s'adapter au changement.

Souvent anthropique, c'est-à-dire due directement ou indirectement à l'activité humaine, la pollution peut cependant résulter de phénomènes naturels tels qu'une éruption volcanique ou solaire.

Source : http://www.agrojob.com/dictionnaire/definition-pollution-2600.html

Processus de dégradation de l'eau par une substance chimique ou organique, par des déchets agricoles, industriels ou ménagers.

Se dit d'une eau qui satisfait à un certain nombre de caractéristiques la rendant propre à la consommation humaine.

Castillan : potable

Ce sont toutes les eaux météoriques qui tombe sur la surface de le terre, sous forme liquide (bruine, pluie, averse) ou sous forme solide (grêle, neige) ou qui sont déposées (rosée, gelée blanche, givre..). Elles sont mesurées à la surface de la terre en millimètres.

Lutte contre toute pollution par déversements, écoulements, rejets, dépôts directs ou indirects de matières de toute nature et plus généralement par tout fait susceptible de provoquer ou d'accroître la dégradation des eaux et des milieux aquatiques en modifiant leurs caractéristiques physiques, chimiques, biologiques ou bactériologiques, qu'il s'agisse des eaux superficielles, souterraines ou des eaux de la mer dans la limite des eaux territoriales.

Forage vertical permettant l'exploitation d'une nappe d'eau souterraine, autrement dit un aquifère ou une nappe phréatique. L'eau peut être remontée au niveau du sol grâce à un seau ou une pompe, manuelle ou non.

Ensemble des caractéristiques physico-chimiques et biologiques de l'eau. Ce concept est utilisé par exemple pour l’eau potable ou pour les eaux de baignade.

Ce terme désigne l'ensemble des conditions qui caractérisent les variations d'écoulement d'un cours d'eau pendant une année, en lien notamment avec les variations du climat.

Bande de terre qui borde une étendue d'eau comme un fleuve, une rivière, un lac ou un étang.

Cours d'eau qui se jette dans un autre cours d'eau plus important.

En climatologie, situation caractérisée par des précipitations anormalement faibles par rapport à la normale, pendant une période d'au moins plusieurs semaines.

Il représente la couche superficielle, meuble, de la croûte terrestre qui résulte de l'altération des roches superficielles et de la dégradation des matières organiques, sous l'influence des agents biologiques (végétation, faune du sol…), chimique et physique (précipitations, variations de température…).

Source : http://www.intelligenceverte.org/Sols-g.asp

(du grec topos : lieu et graphein : dessiner) : C’est l’art de la mesure puis de la représentation sur un plan ou une carte des formes et détails visibles sur le terrain, qu’ils soient naturels (notamment le relief et l’hydrographie) ou artificiels (comme les bâtiments, les routes, …). Son objectif est de déterminer la position et l’altitude de n’importe quel point situé dans une zone donnée, qu’elle soit de la taille d’un continent, d’un pays, d’un champ ou d’un corps de rue.

Source : Wikipédia, l’encyclopédie libre.

C'est une ou différentes manières d'utiliser l'eau de manière personnelle ou professionnelle : utilisation industrielle ( hydroélectricité), utilisation domestique (eau pour la consommation, eau pour l’hygiène), utilisation agricole (irrigation), utilisation récréative ou de loisir (baignade, kayak).

(du grec zôon : animal et logos indiquant la science) : La zoologie est la science qui étudie les animaux. Elle comprend notamment la physiologie et l’anatomie des animaux, leur embryologie, la taxonomie des espèces, l’éthologie, de leur évolution via la paléontologie et de leur classification méthodique par systématique.

Source : http://www.aquaportail.com/definition-8086-zoologie.html